François Bayrou tente de nous imposer un budget d’austérité. Sous prétexte de « faire des économies » pour « maîtriser les dépenses publiques », il propose un plan d’austérité qui n’a qu’une seule ligne directrice : faire payer la crise aux travailleurs et travailleuses, aux retraité·es, aux jeunes, aux plus précaires, aux privé·es d’emploi, aux étudiant·es… C’est non ! Face à l’immense colère populaire, il tente un coup de poker avec un vote de confiance le 8 septembre. Mais le problème, ce n’est pas le nom du ministre, c’est sa politique. Nous devons censurer ce budget par la grève et imposer d’autres choix.
Toutes et tous en grève le 10 septembre

Partout dans le monde les femmes luttent pour leur liberté, leur émancipation et l’égalité : le droit d’aller à l’école, le droit de choisir leur compagnon ou leur compagne, le droit de travailler, le droit à un vrai salaire et le droit d’en disposer, le droit de ne pas subir des oppressions ancrées dans des croyances religieuses, le droit de ne pas subir de mutilation sexuelle, le droit de voter, le droit à disposer de leur corps, d’avorter… Autant de droits souvent acquis de haute lutte et sans cesse remis en cause !
Depuis plus de 100 ans, une journée de lutte internationale a été décidée tous les 8 mars partout dans le monde. Historiquement la journée du 8 mars est une journée de lutte pour les droits des femmes, et si nous luttons au quotidien pour ces droits, il est nécessaire de ne pas oublier celles qui ont lutté avant nous. Donc non, le 8 mars n’est pas "la journée de LA femme" mais une « journée internationale de lutte pour les droits des femmes » !